Le régime syrien refuse que l'ONU ou des forces internationales surveillent l'application de l'accord russo-turco-iranien sur les "zones de désescalade", a affirmé lundi le chef de la diplomatie syrienne.
"Nous n'acceptons pas que les Nations unies ou des forces internationales aient un rôle de surveillance dans l'application du mémorandum" signé par la Russie et l'Iran, alliés du régime de Bachar al-Assad, et la Turquie, soutien de la rébellion, a indiqué Walid Mouallem dans une conférence de presse à Damas.
M. Mouallem a affirmé qu'il pourrait y avoir un rôle, "comme l'a dit le garant russe, pour la police militaire", sans préciser s'il s'agissait de la police syrienne ou russe.
Plusieurs accords de trêve ou de cessez-le-feu ont échoué en six ans de guerre mais ce dernier mémorandum prévoit un mécanisme plus ambitieux grâce à ces postes de surveillance pour éviter les frictions.
[RTBF avec AFP]
8/5/17
"Nous n'acceptons pas que les Nations unies ou des forces internationales aient un rôle de surveillance dans l'application du mémorandum" signé par la Russie et l'Iran, alliés du régime de Bachar al-Assad, et la Turquie, soutien de la rébellion, a indiqué Walid Mouallem dans une conférence de presse à Damas.
- Police syrienne ou russe?
M. Mouallem a affirmé qu'il pourrait y avoir un rôle, "comme l'a dit le garant russe, pour la police militaire", sans préciser s'il s'agissait de la police syrienne ou russe.
Plusieurs accords de trêve ou de cessez-le-feu ont échoué en six ans de guerre mais ce dernier mémorandum prévoit un mécanisme plus ambitieux grâce à ces postes de surveillance pour éviter les frictions.
[RTBF avec AFP]
8/5/17
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